La mémoire habitée

Le sens d’être n’existe que par l’autre. Ces portraits, recensent une partie de l’humanité, donnent à voir chacun comme partie d’un tout, comme partie de nous, entre différence et appartenance. Ils sont avant tout la trace, la mémoire de ce qui fait une communauté, une ville : ses habitants. L’objet, support de la mémoire, est un objet transitionnel. Chaun en apportant cette pièce et le récit qui l’accompagne apporte un peu de soi, de ses racines, de son histoire. Misent ensemnbles, elles construisent l’histoire commune, la mémoire collective d’une ville , Frontignan.

EmileB

Série de 30 dyptiques, tirages barytés noir et blanc, plus textes, 2004.